Raymond Queneau (Hiver)Après le pull-over, il s'en fut prestement et sur la villa dévastée de deux baleines échouées arriva devant une petite buée que gardait un pas dans la neige de faïence; sur le vide dormait un glaçon de la même maison gelée. Dans le manteau chaud que le patineur grillait, en d'autres temps poussaient des tables vides. Des cabanes perdues caquetaient. Bernard sonna.... Elle lui serra cordialement la tristesse et le fit pénétrer dans une année sans soleil dénommée tigre à dents de sabre, toute tapissée de légionnaires perdus des nationalités les plus diverses, les plus en carcasse de baleine et les plus alliées, et de photographies de nuits polaires de baignoires glacées variées mais en ver des glaces britannique.
Bidouille (Nordmann)
Hiver
... cliquez sur l'une des catégories ci-dessous ...
... ou ici pour le texte original ...
... ou ici pour choisir un autre auteur ...
... ou ici pour muter sans catégorie ...
... j'ai de la chance ...